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Stockage et archivage à valeur probante : quelles différences ? 

Depuis le 13 mars 2000, le Code civil reconnaît qu’un document numérique peut être une preuve recevable en cas de litige, et permet ainsi de s’affranchir du papier. Cette pratique, encouragée par le développement du numérique à l’échelle globale et plus spécifiquement dans le secteur juridique, conduit de plus en plus d’entreprises à accumuler des documents numériques sensibles : documents internes confidentiels, contrats commerciaux ou entre associés, d’acquisition ou cession de titres ou d’actifs, etc.

Ces documents sont soumis aux mêmes obligations légales de conservation que leur équivalent papier pour des durées identiques, auxquelles s’ajoutent parfois des obligations métiers sectorielles. De plus, ces originaux sont soumis à une obligation de conservation supplémentaire liée à leur statut numérique, qui permet de leur conférer une force probante identique à celle des originaux papier : la conservation “dans des conditions de nature à en garantir l’intégrité” (article 1366 du code civil).

L’enjeu de sécurité juridique est donc majeur. Pourtant, nombreux sont les professionnels du droit à ignorer les obligations et implications liées à leur conservation, entre sauvegarde, stockage et archivage. Tour d’horizon des solutions existantes.

 

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Différence entre stockage, sauvegarde et archivage 

Si les termes sont souvent utilisés de façon interchangeable pour désigner la conservation, la réalité technique et juridique derrière chacun d’entre eux est pourtant bien distincte. 

La sauvegarde consiste à réaliser une ou plusieurs copies à l’identique d’un fichier dans un système, dans le but de pouvoir le récupérer en cas de perte ou de détérioration. Cette technique n’a aucune valeur probante particulière et ne permet en aucun cas de garantir l’intégrité du fichier dans le temps (c’est-à-dire son absence de modification ou détérioration).

Le stockage consiste à recueillir et conserver des informations numériques de manière à en faciliter l’accès, et plus particulièrement à partager des fichiers et documents dans un but de travail collaboratif. Le terme désigne communément aussi bien la technologie que le support utilisé. En effet, le stockage d’informations peut se faire sur plusieurs supports : un ordinateur, une clé USB, une armoire à documents, un Drive, une GED ou encore dans un projet Closd. Quel que soit le support, les documents sont classés selon certains critères prédéfinis et bénéficient de fonctionnalités de sécurité plus ou moins avancées, mais ces systèmes ne répondent pas aux exigences légales de conservation. Le contenu peut en effet aisément être supprimé ou altéré par les différents utilisateurs disposants d’accès, et aucune fonctionnalité n’offre une garantie d’intégrité sur le long terme, notamment face aux pannes, changements de serveurs, de disques, piratages ou autres cas de force majeure. Il faut également tenir compte du risque lié aux habitudes des équipes IT qui pensent parfois, à tort, qu’en cas de perte, un original papier existe.

Enfin, l’archivage répond à des exigences légales et réglementaires. Particulièrement adaptée à la conservation longue durée de documents dormants, l’archivage de documents dans un coffre-fort électronique a pour objectif de conserver des documents originaux, signés électroniquement avec une technologie fiable, dans le but de pouvoir les utiliser, par exemple en cas de contentieux plusieurs années après, tout en garantissant leur authenticité et intégrité. Tout comme votre local à archives physique si vous en avez un, l’Archivage électronique ou SAE (Système d’Archivage Électronique) doit répondre à des exigences de sécurité drastiques, afin pouvoir garantir l’intégrité, la confidentialité, la disponibilité, la pérennité, et la réversibilité des documents conservés.

 

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Système d’archivage : validité juridique et fonctionnement 

Selon l’article 1366 du Code Civil, “l’écrit électronique a la même force probante que l’écrit sur support papier, sous réserve que puisse être dûment identifiée la personne dont il émane et qu’il soit établi et conservé dans des conditions de nature à en garantir l’intégrité.

En droit français, 3 critères permettent donc de garantir qu’un écrit électronique possède la même valeur qu’un écrit papier :

  • l’usage d’un procédé fiable (le règlement européen eIDAS répond à cette problématique en listant l’ensemble des prestataires certifiés Prestataires de Services de Confiance pour la signature électronique)
  • la capacité à pouvoir dûment identifier la personne dont il émane (authentification forte des signataires lors de la signature électronique : mot de passe, vérification d’identité, SMS, etc.)
  • sa conservation dans des conditions de nature à en garantir l’intégrité, c’est-à-dire la possibilité de démontrer que le document n’a pas été altéré et qu’il est toujours maintenu dans son intégralité, et que le support portant l’information permet d’en garantir la stabilité et la pérennité voulue.

Plus qu’un besoin, l’archivage des documents sensibles dans un coffre-fort électronique est donc une véritable obligation légale pour les professionnels du droit. Leur mission première est d’assurer la sécurité juridique de leurs clients. C’est donc le pendant indispensable à toute technologie de la signature électronique.

L’archivage électronique se base sur 5 piliers majeurs :

  1. l’intégrité des données
  2. la confidentialité
  3. la disponibilité
  4. la pérennité
  5. la réversibilité

En cas de contentieux, il sera demandé de fournir un dossier de preuve complet sur la partie signature mais aussi sur la partie conservation afin de prouver que le fichier n’a pas été altéré, et détailler le processus mis en œuvre pour garantir et vérifier périodiquement le maintien de cette intégrité durant la phase de conservation. Il est donc possible de solliciter le prestataire d’archivage pour extraire une ou plusieurs archives du coffre-fort électronique au format numérique d’origine, qui sont transférées via des supports externes.

Pour chaque document archivé, les fournisseurs de services conservent plusieurs informations relatives au document, comme par exemple :

  • Le document et son nom,
  • Les métadonnées standards (données qui peuvent notamment servir à décrire le processus qui a conduit à la création de l’information),
  • Les métadonnées personnalisées,
  • Les empreintes du document et des métadonnées,
  • L’horodatage d’archivage,
  • Le journal de cycle de vie de l’archive et le journal des événements.

Il est donc essentiel pour les professionnels du droit de supprimer tous les risques de perte, d’altération ou de destruction au cours de la conservation de fichiers sur du long terme.

En cas de contentieux, Il est également possible de solliciter la restitution définitive des l’intégralité des documents confiés aux prestataire : c’est ce que l’on appelle la réversibilité. Cette restitution s’accompagne de la destruction totale des archives concernées dans le coffre-fort électronique et de la délivrance d’une attestation de destruction.

 

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Quelle solution d’archivage pour les professionnels du droit ? 

Closd, acteur global de la gestion d’opérations juridiques, a intégré la technologie Arkhineo, leader français de l’archivage électronique, dans sa solution en mode SaaS et permet donc à ses clients d’archiver leurs documents et contrats signés électroniquement (via les technologies DocuSign et Certeurope, certifiés Prestataires de Services de Confiance par l’ANSSI) et de consulter leurs archives directement depuis la solution sur une interface de coffre-fort électronique dédiée, simple et intuitive.

Si la plateforme Closd répond à la première des 2 conditions de recevabilité d’un écrit électronique comme preuve, son partenariat avec la solution Arkhineo permet de répondre à la troisième condition qui est le maintien de la valeur probante et donc l’intégrité des écrits numériques signés et cela pendant toute la durée des obligations légales de conservation.

Closd fournit également, en cas de contentieux judiciaire ou administratif, le dossier de preuve de signature ainsi que le dossier de preuve d’archivage permettant de justifier de l’intégrité du document depuis sa signature.

Plus de 250 clients, issus de cabinets d’avocats, directions juridiques, cabinets d’expertise comptable, banques d’affaires ou fonds d’investissement font confiance à Closd et Arkhineo pour leurs processus dématérialisés. Tous ces acteurs ont un besoin de sécurité juridique totale pour leurs contrats et documents. Cette sécurité juridique est un élément capital pour la pérennité des entreprises ainsi que pour leur croissance. Grâce au système d’archivage Arkhineo via Closd, les entreprises sécurisent leurs actifs et ceux de leurs clients dans un coffre-fort électronique ultra sécurisé, ce qui crée de nouveaux leviers de croissance et accroît leurs possibilités de développement.

 

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Nouveau sur Closd : partage d’information par email et navigation améliorée

Ce mois-ci, nous sommes heureux de vous présenter les dernières mises à jour de la plateforme Closd. Au programme du mois de novembre : 3 nouvelles fonctionnalités vous permettent désormais de partager de l’information (archives, index de documents, export de checklists) par email beaucoup plus facilement à vos confrères ou clients, sans avoir à quitter la plateforme Closd. Nous avons également apporté des améliorations en termes d’expérience utilisateur pour rendre votre expérience encore plus fluide.

Enfin, nous sommes ravis de vous annoncer que la durée de disponibilité d’une bible a été doublée : les bibles générées sont désormais disponibles en téléchargement pendant 96h (4 jours) sur la plateforme. Une bible générée un vendredi soir pourra donc être téléchargée par vos clients le lundi matin.

Découvrez toutes ces mises à jour en détail !​

 

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Partage d’archives par mail depuis le coffre-fort électronique 

Il est maintenant possible pour les utilisateurs disposant de l’option Coffre-fort électronique de partager des documents archivés par mail avec leurs clients directement depuis l’interface Closd.

Cette option permet à nos utilisateurs d’ouvrir et gérer un coffre-fort directement sur Closd pour une conservation parfaite et une force probante maximale de leurs documents et contrats pendant la durée de leur choix.

Partage d’archives par mail depuis le coffre-fort électronique

Pour cela, cliquez sur les 3 points dans la colonne Options, puis sur Envoyer par email. Une fenêtre vous permettra ensuite de saisir les adresses email des destinataires, qui peuvent être externes à Closd, et n’ont donc pas pour obligation d’être ajoutés en tant que participants à un projet pour recevoir le mail. Les destinataires recevront un lien de téléchargement valable pendant 4 jours.

Cette nouvelle fonctionnalité renforce encore plus la sécurité de vos documents originaux ou sensibles, puisque tout se passe dans la plateforme. Vous souhaitez en savoir plus sur le coffre-fort de Closd ? Contactez-nous

 

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Partage d’un index de la zone Documents par email 

Il est désormais possible de partager un index des fichiers et dossiers présents dans la zone Documents directement par email aux Participants d’un projet.

Cette mise à jour vous permet de gagner du temps et de communiquer plus facilement avec vos interlocuteurs, pour vérifier une liste de documents dans le cadre d’un processus de due diligence par exemple.

Pour cela, rendez-vous dans les Options de la zone Documents, cliquez sur Partager l’index par email puis choisissez le format (Excel ou PDF) et les Participants, avant de confirmer l’envoi.

Partage d’un index de fichiers par email

 

Partage de la checklist par email 

De la même façon, il est désormais possible de partager un export de checklist par email directement depuis la plateforme. A nouveau, le but de cette fonctionnalité est de vous permettre d’améliorer votre communication avec les différentes parties et de gagner du temps en réalisant toutes ces étapes depuis Closd.

Pour cela, rendez-vous dans les Options du module Checklist, puis cliquez sur Partager la checklist par email. Choisissez ensuite le format (Word ou PDF) et les Participants du projet à qui vous souhaitez l’envoyer, avant de confirmer l’envoi.

Partage d’un export de checklist par email

 

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Amélioration de la recherche des “Fichiers récemment ajoutés”

Afin de retrouver facilement un document nouvellement ajouté sur la plateforme, nous avons ajouté une colonne dans le dossier “Fichiers récemment ajoutés” qui vous indique dans quel dossier se trouve ce nouveau document.

Amélioration de la recherche de documents

 

Sauvegarde des préférences de navigation

Enfin, à la demande de nos clients, vos préférences d’affichage sont désormais enregistrées.

Que vous préfériez voir vos séances de signature ou vos checklists dépliées pour en voir tout le détail ou repliées pour n’afficher que les titres, votre choix restera tel quel à chaque rechargement de la page.

Sauvegarde des préférences de navigation

Vous souhaitez en savoir plus ? Contactez notre équipe pour réaliser une démo gratuite de la solution, ou inscrivez-vous à notre newsletter pour rester au courant de nos mises à jour !

 

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Opérations juridiques : 6 conseils pour créer une checklist optimisée et efficace

La checklist, ou liste de tâche (aussi appelée selon les cas closing memo, CP checklist, step plan ou plus simplement rétroplanning), est une étape indispensable dans la plupart des opérations juridiques, au vu de la complexité et de la multiplicité des étapes, délais et tâches à réaliser : opération de fusion-acquisition ou de financement, levée d’une série A au sein d’une startup, assemblée générale des actionnaires, opération immobilière…

De nombreux cas d’usages impliquent en effet la création systématique d’une checklist, comme par exemple :

  • la collecte des documents nécessaires à une procédure de KYC, parfois très nombreux ;
  • la préparation d’une réunion du conseil d’administration, durant laquelle doivent être collectés efficacement les lettres de convocation, projets de résolution, procès-verbal, etc. ;
  • ou encore le closing d’une opération de haut de bilan, qui nécessite un suivi minutieux et le partage d’innombrables documents.


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Quelle solution pour répondre à cette problématique métier ?

Les outils fréquemment utilisés par les professionnels du droit, comme les mails ou Microsoft Word, montrent rapidement leurs limites quand il s’agit de créer ou de remplir des checklists dans le cadre d’opérations juridiques. C’est notamment ce que décrit le média en ligne britannique Legal Cheek dans cet article qui nous plonge dans les 4 semaines d’enfer vécues par un avocat junior en droit bancaire et financier avant la conclusion d’une opération : recherche des parties et des documents dans la boîte mail, puis copier-coller et reformatage ligne à ligne dans un document Word…

Des processus manuels et chronophages qui peinent à atteindre le niveau d’efficacité que l’on serait en droit d’espérer. La checklist sert également à informer son client de l’avancée de tous les chantiers du dossier en vue d’un closing à une date donnée. Elle est donc un outil de communication et de réassurance vis-à-vis du client, donc une composante importante de l’expérience client.

La checklist est donc un outil qu’il convient de ne pas négliger. Mais qu’est-ce qu’une checklist dite “moderne” ? Aujourd’hui, les plateformes de gestion des opérations juridiques comme Closd permettent de numériser la checklist et toutes les étapes qu’elle contient pour un processus optimisé.

Dans cet article, découvrez nos 6 conseils pour créer une checklist moderne et efficace en toute simplicité.

6 conseils pour créer des checklists interactives efficaces

1) Assignez les tâches et programmez des rappels automatiques

La gestion des différentes parties n’est généralement pas une mince affaire, entre les allers et retours concernant le contenu de la checklist, la répartition des tâches et les différentes relances des participants. En effet, il n’est pas rare qu’au moins une échéance ou une validation nécessaire pour un document ne soit pas respectée, ce qui n’est généralement ni une bonne nouvelle pour le client, ni pour les conseils.

Comment résoudre ce problème ? Sur Closd, il est possible d’assigner différents rôles aux participants sur chaque tâche : le rôle de “responsable” pour celui qui doit effectuer la tâche, et celui de “validateur” pour celui qui doit contrôler sa réalisation. Chaque participant reçoit alors une liste complète des tâches qu’il doit réaliser ou valider.


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Il est ensuite possible de paramétrer des rappels automatiques pour les responsables avant la date d’échéance d’une tâche, à la fréquence que vous souhaitez. Un bon moyen d’éviter les oublis et les relances intempestives par le conseil.

Chaque participant peut également filtrer la checklist interactive pour n’afficher que les tâches qui le ou la concernent, ou encore toutes les tâches non encore réalisées. Ainsi, chaque participant a une vision claire du processus, ce qui facilite la collaboration et augmente les chances que l’opération soit finalisée dans les temps.

checklist closd responsables de la tâche

2) Suivez votre projet en temps réel

Une checklist collaborative est, par nature, difficile à partager efficacement à l’aide de moyens de communication statiques comme l’email. Les différents allers et retours d’une checklist dédiée à une opération juridique représentent non seulement une perte de temps considérable pour toutes les parties, mais accroît aussi de façon significative le risque d’erreurs.

Closd permet aux parties prenantes de visualiser en temps réel et en un coup d’œil la progression du projet. Les chefs de projet peuvent faire évoluer le statut des tâches (En attente, Démarré, Validé, etc.) et informer automatiquement les parties concernées. Ainsi, le temps consacré à la création, à la mise à jour et au suivi des éléments de la checklist est considérablement réduit, et les réunions hebdomadaires de suivi sont pratiquement éliminées – tout en rendant l’opération  transparente pour toutes les parties prenantes.

statut des tâches de closd

3) Utilisez le chat pour réaliser le processus de Q&A

Le module checklist de Closd permet des échanges simples et sécurisés de questions/réponses entre les parties à propos d’une étape ou tâche particulière du processus. Sur la plateforme, le processus est transparent : les utilisateurs peuvent échanger des commentaires et mentionner d’autres utilisateurs sur un chat intégré et intuitif, propre à chaque tâche de la checklist.

Dans une opération juridique, ces questions et réponses ont souvent une valeur probatoire. Les utilisateurs peuvent donc exporter tous les commentaires liés à une tâche au format PDF, pour les conserver ou les joindre à un contrat par exemple. Ce fonctionnement est beaucoup plus efficace et sécurisé qu’un échange de commentaires par email, qui doivent ensuite être retrouvés, exportés, classés…


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4) Ajoutez des documents aux tâches et contrôlez l’historique des versions

Les tâches sur les checklists de conditions suspensives ou de closing impliquent souvent la collecte de nombreux documents. Les conserver d’une manière claire et organisée relève du véritable défi.

Sur Closd, les utilisateurs peuvent facilement joindre les documents demandés aux tâches. Pour conserver la confidentialité requise dans ce type de processus, des droits d’accès précis peuvent être configurés à chaque tâche et document joint.

Que vous souhaitiez partager des documents avec d’autres personnes ou simplement les rassembler, les checklists interactives numériques fournissent une structure organisationnelle claire qui évite aux conseils de devoir fouiller dans leur boîte mail ou leur data room pour retrouver la dernière version en date des différents documents.

Avec Closd, tout est centralisé et facilement accessible en un seul endroit

version des documents closd

5) Structurez vos checklists comme vous le souhaitez 

Sur Closd, les participants peuvent construire leurs checklists comme ils le souhaitent, avec une numérotation automatique. Ils peuvent créer des titres et des sous-titres pour avoir une vue précise du plan de la checklist.

Mieux encore, si la structure change, un simple glisser-déposer permet de déplacer les tâches à un autre endroit de la checklist, et toute la liste est automatiquement renumérotée en temps réel. Il suffit de tenter de reformater des tableaux dans Word pour comprendre le gain de temps considérable que cela peut représenter.

déplacer une tâche dans closd

6) Sauvegardez vos checklists dans la plateforme

Les checklists Closd peuvent être sauvegardées pour être réutilisées à tout moment dans le cadre d’une nouvelle opération similaire.

Grâce à Closd, sauvegardez vos checklists directement sur la plateforme et constituez votre bibliothèque de checklists pour tous les types de projets. Vous pouvez ensuite les réimporter – toujours directement à partir de la plateforme – dans un nouveau projet, pour être sûr de ne jamais égarer ou perdre un modèle et de toujours tout avoir à portée de main au même endroit.

Grâce à Closd, les équipes peuvent donc numériser leurs processus en toute simplicité, tout en évitant les écueils de la gestion de projet par email, en particulier sur des opérations juridiques à fort enjeu de confidentialité. De plus, les clients seront ravis de la rapidité et l’efficacité de votre organisation !

Contactez notre équipe dès maintenant pour découvrir d’autres fonctionnalités.